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Face à la transformation digitale de notre société et l’augmentation des cybermenaces, la cybersécurité doit être aujourd’hui une priorité pour bon nombre d’organisations. Après plus de 20 années de publications et de retours d’expérience, MISC apporte un vivier d’informations techniques incontournable pour mieux appréhender ce domaine. Précurseur sur ce terrain, MISC a été fondé dès 2002 et s’est peu à peu imposé dans la presse française comme la publication de référence technique en matière de sécurité informatique. Tous les deux mois, ses articles rédigés par des experts du milieu vous permettront de mieux cerner la complexité des systèmes d’information et les problèmes de sécurité qui l’accompagne.

Le gestionnaire de versions Git est devenu omniprésent et son utilisation a depuis longtemps dépassé le cadre des projets logiciels. Cet article est le premier d'une série qui s'adresse tout autant à ceux qui connaissent tout juste trois ou quatre commandes Git qu'à ceux qui ont une utilisation avancée et souhaitent une compréhension plus profonde. Cet article décrit les concepts sous-jacents à Git : le commit (non, ça n'est pas un diff), la branche (non, ça n'est pas une séquence de commits), HEAD… L'article introduit une représentation graphique de ces concepts et liste rapidement quelques représentations alternatives que l'on peut trouver ailleurs. Pour permettre une compréhension profonde de l'outil, cet article détaille enfin comment Git stocke vos informations dans le système de fichiers. Les articles suivants de la série présenteront différentes façons de travailler avec Git, en étudiant par exemple l'impact des commandes merge et rebase. Ils expliqueront de nombreuses commandes Git et leurs options en s'appuyant sur votre nouvelle compréhension des concepts et sur notre représentation graphique.
Rappelez-vous, je vous avais laissé dans un état de tension insupportable à l’issue de mon précédent article sur la première partie de l’énigme du 17e jour de l’Advent of Code (ce fameux mini calendrier de l’avent du code). Voici le moment de vous révéler ce qui nous attendait dans la seconde partie…
C'est officiel, la toute dernière version de FreeBSD intègre, par défaut, un dépôt spécifique aux modules noyau, c'est FreeBSD-kmods (jetez un œil à votre /etc/pkg/FreeBSD.conf). Ceci règle un problème de longue date découlant du fait que les paquets binaires sont construits sur la base de la version x.(y-1) pendant trois mois après la diffusion de la version x.y, pour des questions de support. Ça marche sans problème pour les paquets « userland », mais pose un vrai souci pour les modules noyau (et drm-kmod en particulier). Ainsi, 14.3 a décidé d'officialiser l'existence d'un dépôt dédié, et c'est là la parfaite excuse pour enrichir le support, se retrousser les manches et, pourquoi pas, développer vos modules/pilotes bien à vous...