MISC 45

La sécurité de Java en question

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Sommaire
  • Société :
    • [04-09] All your pills are belong to us (suite et fin)
  • Dossier :
    • [10-15] La sécurité de Java
    • [16-18] One Bug to rule them all : la faille Calendar/Java
    • [20-25] La sécurité de MIDP
    • [26-33] Vulnérabilités liées aux serveurs d’applications J2EE
    • [34-41] Porte dérobée dans les serveurs d’applications JavaEE
  • Réseau :
    • [42-50] Mécanismes de sécurité WiMAX
  • Code :
    • [53-65] Analyse en profondeur de Waledac et de son réseau
  • Système :
    • [66-71] La sécurité des clés USB
  • Application :
    • [72-82] Quelle confiance accorder aux Trusted Platforms ?

La publication technique des experts de la sécurité offensive & défensive

Face à la transformation digitale de notre société et l’augmentation des cybermenaces, la cybersécurité doit être aujourd’hui une priorité pour bon nombre d’organisations. Après plus de 20 années de publications et de retours d’expérience, MISC apporte un vivier d’informations techniques incontournable pour mieux appréhender ce domaine. Précurseur sur ce terrain, MISC a été fondé dès 2002 et s’est peu à peu imposé dans la presse française comme la publication de référence technique en matière de sécurité informatique. Tous les deux mois, ses articles rédigés par des experts du milieu vous permettront de mieux cerner la complexité des systèmes d’information et les problèmes de sécurité qui l’accompagne.

La sécurité de Java
MISC n°45

Depuis l'origine, Java utilise différentes technologies pour protéger les postes utilisateurs contre du code malveillant. Combinées, elles permettent une réelle sécurité, rarement mise en défaut. Regardons les différentes barrières mises en place dans une JVM pour interdire l'utilisation de code malveillant.

Quelle confiance accorder aux Trusted Platforms ? (Partie 1)
MISC n°45

Combien de temps pourrait résister votre machine face à un attaquant qui a un accès physique à celle-ci ? Le problème est d'autant plus d'actualité que les ordinateurs deviennent de plus en plus mobiles et nous suivent quasiment dans tous nos déplacements. La possibilité d'un vol ou même simplement d'un accès ponctuel est grande. Quant aux informations qu'ils contiennent, surtout lorsqu'il s'agit de nos ordinateurs de travail, leur criticité n'est plus à démontrer.Sur la plupart des machines, démarrer via un token USB, puis monter les disques chiffrés offre une sécurité relativement raisonnable. Encore faut-il avoir suffisamment confiance en l'utilisateur pour qu'il n'installe pas (même par inadvertance) de malwares (et particulièrement des bootkits1), faisant ainsi entrer le loup dans la bergerie.Les normes du « Trusted Computing Group » (TCG) introduisent la notion d'ordinateur de confiance, jetant les bases d'un ensemble de mesures matérielles et logicielles visant à protéger les données de votre machine contre des attaques non seulement logiques mais aussi physiques, allant même jusqu'à se défendre contre l'utilisateur lui-même lorsque celui-ci risque d'en compromettre la sécurité.Tout repose sur des puces spécifiques appelées « Trusted Platform Modules » (TPM) directement installées sur la carte-mère de l'ordinateur. Elles ont été normalisées par le TCG, puis mises en production par un certain nombre de fondeurs (ATMEL, Broadcom, Infineon, Intel, NSC...) et proposent un ensemble de services sur lequel on peut espérer construire une sécurité robuste.Cet article traite des puces TPM [3,8], de leurs capacités et de quelques logiciels de base qui permettent d'en tester le fonctionnement.

One Bug to rule them all : la faille Calendar/Java
MISC n°45

Le 3 décembre 2008, Sun a corrigé une faille, découverte et rapportée par Sami Koivu le 1er août 2008. Le rapport de Sun était laconique : « A Security Vulnerability in the Java Runtime Environment (JRE) Related to Deserializing Calendar Objects May Allow Privileges to be Escalated ». Il n'y a là pas grand-chose pour attirer l’œil, si ce n'est l'absence de référence à toute bibliothèque native et à toute corruption mémoire (telle que le classique « buffer overflow ») comme c'est le cas pour la plupart des vulnérabilités Java.

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