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Face à la transformation digitale de notre société et l’augmentation des cybermenaces, la cybersécurité doit être aujourd’hui une priorité pour bon nombre d’organisations. Après plus de 20 années de publications et de retours d’expérience, MISC apporte un vivier d’informations techniques incontournable pour mieux appréhender ce domaine. Précurseur sur ce terrain, MISC a été fondé dès 2002 et s’est peu à peu imposé dans la presse française comme la publication de référence technique en matière de sécurité informatique. Tous les deux mois, ses articles rédigés par des experts du milieu vous permettront de mieux cerner la complexité des systèmes d’information et les problèmes de sécurité qui l’accompagne.
Ce proverbe [1] se prête bien à l'introduction d'un dossier qui se devait d'être traité dans un magazine tel que MISC. En effet, une population de lecteurs telle que celle qui régulièrement parcourt ces pages avec respect et intelligence [2] a nécessairement passé des heures sur diverses générations de plates-formes à essayer de résoudre des énigmes, sauver le monde, tuer des tas de trucs qui bougent ou bâtir des empires.
Dans un précédent numéro du magazine, un aperçu du protocole réseau Netflow [1] et ce qu'il permettait de faire a été indiqué. Aujourd'hui, dans un deuxième article, nous allons nous attacher à présenter une suite de logiciels servant à visualiser des données issues de ce type de flux. Nous présenterons tout d'abord la partie installation, puis la phase utilisation et mise en œuvre.
Cet article, à but historique, présente des méthodes de protection avancées rencontrées sur des jeux sortis il y a plus de 20 ans sur ATARI. C'était alors la grande époque de la disquette. Il est dans l'esprit commun que les protections se sont fortement complexifiées au fil du temps. Nous verrons pourtant que les développeurs de ces jeux, en matière de protection de code, n'avaient pourtant rien à envier aux développeurs actuels. Il montre également que le reverse engineering était déjà bien maîtrisé, à une époque où de nombreux lecteurs de MISC tétaient encore leur biberon.