Juillet / Août 2016

Hackable Magazine 13

Découvrez et utilisez la... Caméra Raspberry Pi !

· Configurez la caméra et votre Pi
· Capturez des images fixes
· Streamez la vidéo
· Créez des time-lapses
· Exploitez les fonctions de vision nocturne (IR)

Période : Juillet - Août 2016
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SOMMAIRE :

Actualités :

p. 04 Retour sur la Maker Faire Paris 2016 : ça mature
p. 10 Raspberry Pi 3 : la petite nouvelle Pi pleine de ressources

Ardu'n'co :

p. 18 Utilisez des modules radio APC220 pour faire communiquer votre Arduino

En couverture :

p. 32 Installez et utilisez le module caméra V2 avec votre Raspberry Pi
p. 50 Module caméra Raspberry Pi : un mot sur l'infrarouge

Embarqué & informatique :

p. 64 Utilisez une imprimante thermique avec votre Raspberry Pi

Démontage, hacks & récup :

p. 74 Convertissez une réglette lumineuse en afficheur multicolore

Repère & science :

p. 86 Apprenez à déchiffrer une datasheet

PRéFACE :

Quelque chose ne tourne pas rond...

Alors même que le projet de loi américain sur le droit à obtenir des informations techniques concernant la réparation des équipements électroniques (le Fair Repair Act ou Right to Repair bill) est sur le point de passer à la trappe (après un an d’enlisement), de mon côté je me penche sur le Sony Xperia Z de ma fille, dont l’écran a subi une déplorable et destructrice rencontre avec le manche d’une masse (oui, oui).

L’achat de la pièce de remplacement, toute la façade avant du smartphone avec écran et une partie de la connectique, n’était pas un problème pour peu que l’on sache identifier le modèle avec exactitude. Ce qui l’était en revanche est la réparation à proprement dite, s’étalant sur deux bonnes heures. La raison ? Une absence d’informations fiables et surtout... de la colle partout.

En effet, tout est littéralement collé à l’adhésif double face dans l’équipement : la coque, l’écran, les câbles, l’accu, les caches... Il n’y a que 4 malheureuses vis dans le smartphone et le risque d’endommager le matériel en tentant une réparation est très important, même en étant très minutieux et bien équipé (pistolet à air chaud, outils de précision, ventouse, etc.).

Peut-être ne l’avez-vous pas remarqué, mais cela fait quelque temps déjà que les fabricants de smartphones ou d’ordinateurs portables semblent utiliser différentes techniques limitant les tentatives de réparation : batterie dans l’équipement et non amovible, utilisation de colles, de résines, vis non standards, connecteurs soudés... À croire qu’ils préféreraient que vous achetiez un nouvel appareil plutôt que de le réparer ou le faire réparer par quelqu’un (sic).

Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi et les plus vieux s’en souviennent. Fut un temps un ordinateur ou même n’importe quel équipement était accompagné d’une notice incluant le schéma de fonctionnement, un exposé du produit, la liste des pièces détachées et une procédure d’analyse de problèmes et de réparation (ceci existe encore, tantôt, pour les équipements d’atelier type perceuse à colonne).

Certes, cela augmenterait le coût de production des produits, mais entre ces deux extrêmes il faut une juste mesure. Lorsqu’on achète un produit, en principe, il nous appartient et nous devons donc être en mesure de pouvoir y faire des modifications et des réparations sans avoir à subir de restrictions ou de blocages. Je regrette amèrement l’achat de ce smartphone presque irréparable malgré un dénouement heureux après beaucoup d’efforts et de patience.

Je pensais craquer prochainement pour un CAT S60 avec caméra thermique FLIR intégrée, mais la mention « Lithium Ion, non amovible, 3800mAh » va, je pense, me faire passer mon tour et rester avec mon Samsung E1200 à 14,90€. Désolé les gars, acheter un téléphone endurci à 650€ intégrant un élément difficilement remplaçable dont le vieillissement est connu, prévu et avéré ne m’intéresse pas vraiment...

Denis Bodor

Le bimestriel spécialisé dans l'électronique numérique et l'embarqué !

Né en 2014, Hackable est un bimestriel destiné aux professionnels et particuliers souhaitant découvrir et progresser dans les domaines de l’électronique numérique et de l’embarqué. Il fournit un contenu riche orienté vers une audience désireuse de bénéficier d'une veille technologique différente et résolument pratique. Le contenu du magazine est conçu de manière à permettre une mise en pratique directe des connaissances acquises et apprendre tout en faisant.

Installez et utilisez le module caméra V2 avec votre Raspberry Pi
Hackable n°13
Deux étranges connecteurs peuplaient déjà les premières Raspberry Pi sans que, à l'époque, on ne sache vraiment quoi en faire. Depuis, l'écran officiel et le module caméra ont fait leur apparition. En avril dernier, la fondation annonçait l'arrivée d'une nouvelle version de ce module, bien plus performante et fonctionnant parfaitement avec toutes les Pi disponibles. Voyons ensemble de quoi il en retourne et comment mettre en œuvre ce nouveau jouet...
Module caméra Raspberry Pi : un mot sur l'infrarouge
Hackable n°13

Comme vous l'avez constaté dans l'article précédent, une version spécifique du module caméra est vendue sans être équipée d'un filtre infrarouge, lui permettant ainsi de capter des rayonnements en dehors du spectre visible. En dehors de la capture d'images et de vidéos aux couleurs surprenantes, cette déclinaison du module permet un certain nombre de réalisations captivantes....

Déchiffrez une datasheet
Hackable n°13 Free
Lorsqu'on veut utiliser un composant, surtout inconnu, le premier réflexe est de se procurer sa documentation et la consulter. La datasheet (ou « fiche technique » en bon français) décrit les propriétés distinctives et essentielles du composant, mais d'une manière parfois tellement concentrée que l'avalanche de nombres et de termes peut décourager les débutants. Sans connaître le jargon ou les conventions, il est d'ailleurs facile de passer à côté de détails critiques ! Je vous propose de décortiquer la structure d'une datasheet pour mieux comprendre et trier les informations pertinentes.
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