7,90 € TTC
p. 06 Compilation, installation et utilisation basique de vim 8
p. 12 Dissémination de données géoréférencées – qgis-server et OpenLayers
p. 24 À la découverte de systemd
p. 32 Le Relais 2 x 5 V … dans l'IoT ou l'art de piloter en BLE les périphériques de la WaRP7
p. 48 Programmation d'application audio en C++ avec JUCE
p. 59 La création d'interfaces graphiques avec WxPython
p. 66 Créez votre clavier programmable
p. 80 Créez une application pour votre Tizen TV Samsung
p. 94 Le CSRF démystifié et bloqué
Ça y est, 2017 est à nos portes, une nouvelle année démarre et, il y a 20 ans se produisait un événement important... enfin, pas exactement 20 ans... En septembre 1998 un OVNI apparaissait dans la presse française : Linux Magazine (toujours cette histoire de « GNU » oublié dans le titre). Cela remonte donc à 18 ans et 4 mois tout de même et le paysage de la presse informatique a bien changé : nous sommes passés d’une abondance de titres, de l’ « âge d’or de la presse informatique » a une situation où seulement quelques titres subsistent. Parmi ces titres se trouve donc GNU/Linux Magazine qui est l’un des plus anciens et qui fête donc son 200ème numéro !
Comment se fait-il que nous soyons toujours là dans une période où beaucoup se satisfont des informations qu’ils glanent sur le Web ? J’aime à penser que c’est la qualité des contenus que nous proposons qui a réussi à vous fidéliser pour les uns depuis de nombreuses années et pour les autres plus récemment. Sur le Web la recherche est ciblée, une idée a germé et pris le contrôle de notre cerveau : nous voulons une réponse à une question précise. Dans un magazine comme GNU/Linux Magazine, on peut rencontrer une technologie, un algorithme qui nous étaient inconnus, auxquels nous ne nous serions pas intéressés forcément et qui vont miraculeusement résoudre un problème ou plus simplement nous donner de nouvelles idées. Ainsi, magazine et Web ne remplissent pas la même fonction.
L’objectif initial de GNU/Linux Magazine était l’acceptation de GNU/Linux et des logiciels libres. Aujourd’hui, ce n’est plus un combat de tous les jours : une grande majorité de personnes a compris que plusieurs voies étaient possibles. Ainsi, GNU/Linux Magazine est maintenant un magazine beaucoup plus technique et « professionnel » qui au cours de son existence a donné progressivement naissance à de multiples publications :
L’intérêt de cette multiplication de titres est de pouvoir traiter les sujets de chaque domaine de manière plus pointue. Mais au final que reste-t-il à GNU/Linux Magazine ? Doit-on forcément s’interdire de parler de sécurité ou d’embarqué, car cela est fait dans une autre de nos publications ? C’était le choix qui avait été le nôtre jusqu’à présent... puis nous avons décidé de tout modifier, de revenir aux sources de ce qu’était GNU/Linux Magazine. En dehors d’une couverture et d’une maquette repensées que vous n’avez pas pu ne pas remarquer, nous vous proposons de nouvelles rubriques dans lesquelles vous pourrez retrouver le contenu auquel vous étiez habitué et celui qui était présent aux débuts du magazine :
Le monde change, vos attentes aussi. Cette nouvelle formule n’est pas seulement un changement esthétique, elle est la preuve que nos publications restent bien vivantes et tentent de s’adapter aux attentes de nos lecteurs, à VOS attentes.
Je vous souhaite une excellente lecture et beaucoup de découvertes dans ce 200ème numéro et j’espère vous retrouver dans un mois !
Tristan Colombo
GNU/Linux Magazine s'adresse aux professionnels et aux particuliers désireux de mieux maîtriser les techniques et problématiques liées à la programmation et à l’utilisation de solutions open source. Tous les deux mois avec ses articles techniques, la publication couvre les thématiques suivantes : programmation système, algo, bas niveau, sécurité du code, développement web...
Les données géoréférencées, générées par l’auteur ou distribuées par les agences telles que l’ESA (sentinels.copernicus.eu) ou l’USGS (earthexplorer.usgs.gov), sont disséminées au travers d’un service accessible par le Web selon les formats WFS ou WMTS. Ces données sont alors exploitables au travers de logiciels spécialisés tels que QGis, ou de l’API OpenLayers pour être intégrées dans des pages Web.
Le but de cet article est la découverte de toutes les faces cachées de systemd et particulièrement l'initialisation du système et l'administration des services, l'optimisation des performances et la gestion élémentaire des journaux.