Décembre 2015

GNU/Linux Magazine 188

Vous souhaitez enfin être entendu et compris de votre PC ?

Reconnaissance vocale avec Python et Pocketsphinx

En savoir plus

7,90 € TTC

Anciens Numéros

LIVRAISON OFFERTE en France Métropolitaine à partir de 50€
GNU/Linux Magazine 279

GNU/Linux Magazine 279

Janvier / Février 2026
9,90 €
GNU/Linux Magazine 278

GNU/Linux Magazine 278

Novembre / Décembre 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 277

GNU/Linux Magazine 277

Septembre / Octobre 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 276

GNU/Linux Magazine 276

Juillet / Août 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 275
9,90 €
GNU/Linux Magazine 274

GNU/Linux Magazine 274

Mars / Avril 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 273

GNU/Linux Magazine 273

Janvier / Février 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 272

GNU/Linux Magazine 272

Novembre / Décembre 2024
9,90 €
SOMMAIRE :

Actualités

p. 06 La supervision confortable avec Omega Noc

Humeur

p. 10 De l'élitisme à la fumisterie : nos mentalités doivent changer

Repères

p. 16 Ils sont fous ces romains !
p. 22 Analyse spectrale Wifi

Les « how-to » du sysadmin

p. 26 Configuez Nginx pour accueillir vos services

Sysadmin

p. 30 Réplication PostgreSQL avec Slony
p. 36 OSQuery : après le NoSQL, le oSQL pour interroger votre OS
p. 42 Installer son propre serveur de tuiles

Les « how-to » du développeur

p. 48 Créez votre clone de Siri, Cortana et autres

Développement

p. 52 Parlez à votre ordinateur... Et faites-vous comprendre
p. 64 Tests unitaires en conditions réelles avec Arquillian
p. 74 L'analyse de données en Python ou comment faire du R sans R

Développement web & mobile

p. 80 Android Layout : connaissiez-vous l’attribut « tools » ?

 

 

éDITO :

L’informatique est là pour nous simplifier le quotidien et nous pouvons justement nous en rendre compte tous les jours. Vous en voulez une preuve ? Prenons un exemple fort simple : votre lieu d’habitation est identifié à l’aide d’une adresse unique ; suivant où vous habitez cette adresse peut être plus ou moins longue, avec ou sans complément. Quelle joie donc lorsqu’une interface vous propose de compléter automatiquement votre adresse ! Il suffit d’indiquer le code postal, de cliquer sur le type de voie et... et parfois votre rue n’est pas répertoriée. Si vous habitez dans une grande ville, à cheval sur deux arrondissements, votre adresse postale ne sera pas forcément reconnue automatiquement. Pour le service que vous utilisez, vous serez domicilié dans l’arrondissement A et pour la poste dans l’arrondissement B. Et si, cerise sur le gâteau, on vous interdit d’ajouter un complément d’adresse... vous ne recevrez jamais votre courrier !

La reconnaissance automatique d’adresse n’est pas en cause : il s’agit d’une aide à la saisie et cela devrait être considéré comme tel. Le problème se situe au niveau des concepteurs de ces services qui n’arrivent pas à imaginer que l’utilisateur puisse avoir à corriger des données et qui lui interdisent donc de le faire. Sur une page Web, pour ceux qui le peuvent, il suffira parfois d’un peu de hacking pour forcer la saisie (pas toujours, car parfois lesdits développeurs ont quand même des notions de base en sécurité... ou ils utilisent des frameworks qui gèrent cela pour eux). Mais lorsque l’on doit remplir un document papier (oui, ça existe encore) et que la saisie est faite par une autre personne dans un service administratif, il n’y aura aucun moyen de tenter une correction... Donc la reconnaissance automatique c’est bien, mais tant que ce n’est pas fiable à 100% il faut laisser la possibilité à l’utilisateur de corriger les données !

Pour la reconnaissance vocale, le problème est identique : est-ce que vous allez supposer que la traduction textuelle réalisée par la machine est toujours correcte ? Est-ce que cela vous viendrait à l’idée de dicter un texte (ou une phrase, restons réalistes) sans le relire avant de vous en servir ? Non, bien sûr ! Eh bien nous vous proposons de tester tout cela ce mois-ci en mettant en place vos propres solutions de reconnaissance textuelle ou vocale. Bien que certains moteurs STT (Speech To Text) soient plus performants que d’autres, il faut garder à l’esprit qu’ils ne sont pas infaillibles et permettre là encore à l’utilisateur d’avoir le dernier mot...

En parlant de dernier mot, les miens seront pour ce mois-ci de vous souhaiter une excellente lecture !

Tristan Colombo

Le magazine de référence technique pour les développeurs sur systèmes open source et les ingénieurs R&D !

GNU/Linux Magazine s'adresse aux professionnels et aux particuliers désireux de mieux maîtriser les techniques et problématiques liées à la programmation et à l’utilisation de solutions open source. Tous les deux mois avec ses articles techniques, la publication couvre les thématiques suivantes : programmation système, algo, bas niveau, sécurité du code, développement web...

Ecriture d'un module RADIUS : validation de tickets CAS
GNU/Linux Magazine n°123
Cet article présente une façon de personnaliser un serveur RADIUS avec l'écriture d'un module spécifique pour le système CAS (Central Authentication Service) [1] [2] [3]. Avec ce module, il sera possible de faire de l'authentification SSO sur des portails captifs à interface web. En général, un portail captif vérifie les autorisations d'accès à l'aide d'un serveur RADIUS. Plutôt que de fournir directement leurs identifiants au portail captif, les utilisateurs seront authentifiés en premier lieu par un serveur CAS (pour pouvoir faire du SSO - Single Sign On) et utiliseront le ticket délivré automatiquement par le serveur CAS, pour la validation RADIUS. Il est donc nécessaire d'avoir un module de validation de tickets CAS pour RADIUS dans ce cas là.Mots-clés : SSO, CAS, RADIUS
Programmation de droid : le client lourd
GNU/Linux Magazine n°123

Dans cet article, nous allons voir comment faire une application de carnet d’adresses électronique en mode 3 tiers. Autrement dit, nous allons aborder la mise en place d’une couche de persistance via Hibernate, la notion de couche métier, et enfin une couche d’interface graphique. J’avais en effet envie de montrer (et c’est le principal but de ces lignes) comment, en découpant bien notre application, et en choisissant avec soin les briques de base, il est possible de fournir 2 interfaces graphiques très différentes. La première est une interface type « client lourd » à utiliser sur son PC de bureau. La deuxième permet d’utiliser les mêmes données que la précédente, mais fonctionnera sur le téléphone portable de Google « Android ».

Utilisation de smartcards, GnuPG V2 au « quotidien », Partie 1
GNU/Linux Magazine n°123 Free
Ceci est un article complémentaire à l'article écrit par Denis Bodor, paru dans le GNU/Linux Magazine n°113, orienté sur la version V2 de cette smartcard et sous le système GNU/debian squeeze. Nous verrons dans cette première partie son implémentation avec GnuPG2, la différence entre ces deux versions de smartcard (V1 et V2), son utilisation dans différents contextes : génération de clés, le transfert de clés existantes sur la smartcard, la création d'une smartcard de secours au cas où, ...
Ce magazine est intégralement disponible sur Linux Magazine Connect
© 2025 - LES EDITIONS DIAMOND