Février 2016

GNU/Linux Magazine 190

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SOMMAIRE :

Actualités

p. 06 PostgreSQL - Architecture et notions avancées

Humeur

p. 08 Une si discrète institution

Repères

p. 12 La Programmation Orientée Objet pour tous ?

Les « how-to » du sysadmin

p. 16 Réalisez les sauvegardes de votre téléphone Android avec ssh

Sysadmin

p. 20 Sauvegarde automatisée de ses données personnelles
p. 30 Ansible & Docker sont dans un bateau

Les « how-to » du développeur

p. 38 Protocole de découverte de services

Développement

p. 44 Format WAV : créez des ondes sonores en C
p. 50 Format WAV : des sons de plus en plus complexes
p. 56 Interfaces utilisateur en Python : le mode CLI
p. 64 Asciidoc et Asciidoctor pour soigner votre documentation
p. 68 Pharo : générer des documents PDF avec Artefact

Développement web & mobile

p. 78 Création d'un menu en 5 minutes avec Polymer

 

éDITO :

Je vais revenir ce mois-ci sur un problème récurrent : l’ergonomie et l’utilisabilité des interfaces Web. De plus en plus de services sont proposés en ligne et c’est à se demander si leurs concepteurs les utilisent ou les ont seulement testés. Dans les dernières pages qu’il m’ait été donné de tester, on peut trouver : ▪ un formulaire qui disparaît à la validation lorsque l’un des champs contient une entrée incorrecte ; ▪ un formulaire dont l’ascenseur se trouve intégré à la page de façon tellement esthétique qu’il est invisible : on ne sait donc pas comment accéder au bas du formulaire et au bouton de validation ; ▪ des messages sur un site marchand (plutôt connu) où, sous prétexte de convivialité, les concepteurs ont glissé un peu d’ « humour » : « Et hop ! C’est dans votre panier ! » ou encore « Veuillez patienter, la page suivante va se charger automatiquement... ou pas :-) ». Et bien en tant que client je ferai pareil : je reviendrai... ou pas ! ▪ un panier qui indique qu’il contient un article alors que tous les articles ont été supprimés ; ▪ #un bouton « page suivante » qui renvoie sur la page d’accueil ; ▪ un formulaire de contact qui, une fois connecté et donc identifié, redemande à l’utilisateur de saisir ses nom, prénom, adresse, numéro de client, etc. Faire une requête dans la base de données est sans doute trop compliqué ! ▪ j’ai gardé le meilleur pour la fin avec un formulaire contenant un champ obligatoire sous la forme de boutons radio... et dont tous les boutons sont désactivés ! Je dois faire partie des quelques personnes en France ayant pu valider le formulaire en l’éditant et en modifiant les lignes <input type="radio" disabled="disabled" ...>.

Ce formulaire n’est pas censé s’adresser aux seuls informaticiens, mais peut-être s’agit-il d’un test caché ? Comment tout cela est possible ? Comment ces erreurs de conception peuvent-elles perdurer ? Pourquoi continuer d’accepter de tels agissements de la part de certains développeurs ? Si votre garagiste répare votre voiture et vous explique que pour démarrer il faudra dorénavant tourner trois fois sur vous-même avant d’ouvrir le capot, ajouter un peu d’huile, faire tourner le moteur deux minutes puis l’éteindre avant de redémarrer... est-ce que vous trouverez ça normal ? Certes non, pourtant nous n’avons pas tous des connaissances en mécanique auto. Alors pourquoi en informatique trouve-t-on normal d’avoir des programmes qui fonctionnent « à peu près » ou que les clients se voient proposer des solutions abracadabrantesques de contournement des problèmes ? Le logiciel libre est un début de réponse, mais n’est plus suffisant : de nombreuses entreprises surfent sur l’ « open source », détournant à leur profit le système économique du logiciel libre en produisant des logiciels au code obscur et non documenté de manière à pouvoir revendre par la suite des formations ou de nouveaux développements. Il n’y aurait donc aucune solution ? Si ! Râler comme on le ferait avec notre garagiste... et continuer à lire et faire lire GNU/Linux Magazine pour acquérir de nouveaux savoirs :-)

Tristan Colombo

Le magazine de référence technique pour les développeurs sur systèmes open source et les ingénieurs R&D !

GNU/Linux Magazine s'adresse aux professionnels et aux particuliers désireux de mieux maîtriser les techniques et problématiques liées à la programmation et à l’utilisation de solutions open source. Tous les deux mois avec ses articles techniques, la publication couvre les thématiques suivantes : programmation système, algo, bas niveau, sécurité du code, développement web...

Ecriture d'un module RADIUS : validation de tickets CAS
GNU/Linux Magazine n°123
Cet article présente une façon de personnaliser un serveur RADIUS avec l'écriture d'un module spécifique pour le système CAS (Central Authentication Service) [1] [2] [3]. Avec ce module, il sera possible de faire de l'authentification SSO sur des portails captifs à interface web. En général, un portail captif vérifie les autorisations d'accès à l'aide d'un serveur RADIUS. Plutôt que de fournir directement leurs identifiants au portail captif, les utilisateurs seront authentifiés en premier lieu par un serveur CAS (pour pouvoir faire du SSO - Single Sign On) et utiliseront le ticket délivré automatiquement par le serveur CAS, pour la validation RADIUS. Il est donc nécessaire d'avoir un module de validation de tickets CAS pour RADIUS dans ce cas là.Mots-clés : SSO, CAS, RADIUS
Free Open Source Software Academia, première édition
GNU/Linux Magazine n°123
L'INRIA et OW2 organisaient les 17 et 18 novembre derniers à Grenoble, le salon fOSSa, invitant développeurs, chercheurs et industriels à un échange d'expériences sur leur coopération autour de projets open source.
Utilisation de smartcards, GnuPG V2 au « quotidien », Partie 1
GNU/Linux Magazine n°123 Free
Ceci est un article complémentaire à l'article écrit par Denis Bodor, paru dans le GNU/Linux Magazine n°113, orienté sur la version V2 de cette smartcard et sous le système GNU/debian squeeze. Nous verrons dans cette première partie son implémentation avec GnuPG2, la différence entre ces deux versions de smartcard (V1 et V2), son utilisation dans différents contextes : génération de clés, le transfert de clés existantes sur la smartcard, la création d'une smartcard de secours au cas où, ...
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