Septembre / Septembre 2020

GNU/Linux Magazine 240

Accélérez vos codes avec Numba !

En savoir plus

8,90 € TTC

Anciens Numéros

LIVRAISON OFFERTE en France Métropolitaine à partir de 50€
GNU/Linux Magazine 279

GNU/Linux Magazine 279

Janvier / Février 2026
9,90 €
GNU/Linux Magazine 278

GNU/Linux Magazine 278

Novembre / Décembre 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 277

GNU/Linux Magazine 277

Septembre / Octobre 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 276

GNU/Linux Magazine 276

Juillet / Août 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 275
9,90 €
GNU/Linux Magazine 274

GNU/Linux Magazine 274

Mars / Avril 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 273

GNU/Linux Magazine 273

Janvier / Février 2025
9,90 €
GNU/Linux Magazine 272

GNU/Linux Magazine 272

Novembre / Décembre 2024
9,90 €
SOMMAIRE :

Actus & Humeur

p. 06 De Smalltalk à Pharo : 40 ans d’innovations en génie logiciel

IA, Robotique & Science

p. 20 Analyse et réalisation d’un RADAR à bruit par radio logicielle

Outils & Système

p. 38 Utilisez Terraform pour vos projets Docker

Hack & Bidouille

p. 44 Comment arrêter un ordinateur sans crise de nerfs ?

Libs & Modules

p. 54 Accélération de Python avec Numba

Kernel & Bas niveau

p. 68 Les utilitaires relatifs aux namespaces

éDITO :

Depuis quelque temps déjà il se dégage une tendance forte dans le développement logiciel : l'emploi de méthodes de développement dites agiles. De la plus petite TPE/PME à la plus grosse multinationale, il semblerait que désormais tout le monde ne jure plus que par les méthodes agiles. Mais pourquoi donc ?

Les méthodes agiles posent pour base une plus grande implication du client dans le projet et une meilleure réactivité des équipes de développement face à ses demandes. Ainsi, le nombre d'itérations (livraison de versions opérationnelles du projet) sera plus important qu'avec une méthode classique de développement, et le client sera régulièrement consulté pour orienter l'avancée du projet. Or donc, pour une entreprise désireuse de mettre en avant ses processus de développement à des fins purement marketing, il est très rentable de « vendre » de l'agilité : le client ne se sent plus dépossédé de son projet, il peut régulièrement participer à son élaboration… mais sait-il que grâce à lui l'équipe de développement va gagner un temps précieux et permettre à son employeur d'économiser beaucoup d'argent ? En effet, certains ont eu tôt fait de faire le raccourci entre nombreuses itérations/participations du client et délégation des tests utilisateur ! Pourquoi réaliser ce travail fastidieux quand le client peut s'en charger ? En plus ce dernier sera ravi :

  • il y aura de nombreuses livraisons du projet ce qui, psychologiquement, aura un impact positif : « mon projet n'est pas mort, je vois bien que des gens travaillent dessus » ;

  • le client sera véritablement impliqué et écouté : « je viens de noter un bug à tel endroit, il va être corrigé ».

Les bénéfices sont énormes pour l'entreprise en charge du développement : le client est heureux de payer pour être intégré à l'équipe de développement au rang le plus bas qui soit, celui de testeur. Vous connaissez beaucoup de gens qui payent pour travailler et qui en plus sont contents ? Les développeurs n'ont plus à tester les nouvelles fonctionnalités qu'ils viennent d'ajouter : il leur suffit de signifier à leur client une mise à jour de la version en préproduction et le tour est joué ! Ce dévoiement de l'Agile (avec un A majuscule) montre l'agilité du commercial qui arrive à vendre tout et n'importe quoi à ses clients, ce qui est bien loin de l'aspect technique et cadrant proposé initialement par la méthode…

En suivant la même logique, nous aurions pu vous proposer des articles non relus, non formatés et non mis en page pour « validation » par vos soins de manière à vous impliquer dans le processus de réalisation de chaque magazine. Ce n'est bien sûr pas le cas, alors je vous souhaite une bonne lecture, sans travail supplémentaire et surtout, si vous employez une méthode agile dans votre travail, respectez-en l'essence !

Tristan Colombo



Le magazine de référence technique pour les développeurs sur systèmes open source et les ingénieurs R&D !

GNU/Linux Magazine s'adresse aux professionnels et aux particuliers désireux de mieux maîtriser les techniques et problématiques liées à la programmation et à l’utilisation de solutions open source. Tous les deux mois avec ses articles techniques, la publication couvre les thématiques suivantes : programmation système, algo, bas niveau, sécurité du code, développement web...

Git : comment ça marche ?
GNU/Linux Magazine n°277

Le gestionnaire de versions Git est devenu omniprésent et son utilisation a depuis longtemps dépassé le cadre des projets logiciels. Cet article est le premier d'une série qui s'adresse tout autant à ceux qui connaissent tout juste trois ou quatre commandes Git qu'à ceux qui ont une utilisation avancée et souhaitent une compréhension plus profonde. Cet article décrit les concepts sous-jacents à Git : le commit (non, ça n'est pas un diff), la branche (non, ça n'est pas une séquence de commits), HEAD… L'article introduit une représentation graphique de ces concepts et liste rapidement quelques représentations alternatives que l'on peut trouver ailleurs. Pour permettre une compréhension profonde de l'outil, cet article détaille enfin comment Git stocke vos informations dans le système de fichiers. Les articles suivants de la série présenteront différentes façons de travailler avec Git, en étudiant par exemple l'impact des commandes merge et rebase. Ils expliqueront de nombreuses commandes Git et leurs options en s'appuyant sur votre nouvelle compréhension des concepts et sur notre représentation graphique.

Les codes fantastiques : variable et Unicode
GNU/Linux Magazine n°277

Continuons cette série sur les codes fantastiques en compagnie de noms de variables écrits en Unicode.

FreeBSD 14.3 ajoute un support pkg pour les modules noyau, c'est le moment de coder les vôtres !
GNU/Linux Magazine n°277

C'est officiel, la toute dernière version de FreeBSD intègre, par défaut, un dépôt spécifique aux modules noyau, c'est FreeBSD-kmods (jetez un œil à votre /etc/pkg/FreeBSD.conf). Ceci règle un problème de longue date découlant du fait que les paquets binaires sont construits sur la base de la version x.(y-1) pendant trois mois après la diffusion de la version x.y, pour des questions de support. Ça marche sans problème pour les paquets « userland », mais pose un vrai souci pour les modules noyau (et drm-kmod en particulier). Ainsi, 14.3 a décidé d'officialiser l'existence d'un dépôt dédié, et c'est là la parfaite excuse pour enrichir le support, se retrousser les manches et, pourquoi pas, développer vos modules/pilotes bien à vous...

Ce magazine est intégralement disponible sur Linux Magazine Connect
© 2025 - LES EDITIONS DIAMOND