8,90 € TTC
p. 06 Gérez vos projets Python avec Poetry
p. 18 Petite introduction à OpenShift
p. 30 Les bizarreries de l’isolation des IPC
p. 48 Python : comment utiliser les context managers ?
p. 52 « Je veux ma maquette de satellite » : analyse du format G3DB d’objets 3D en vue de leur impression
p. 60 Godot : tests unitaires et export Android
p. 72 AlaSQL, un puissant moteur SQL pour développeurs JavaScript
De nos jours, les réseaux sociaux ont acquis une faculté de nuisance incommensurable. Qu'un personnage médiatique s'exprime sur un sujet non consensuel et une horde d'hystériques s'empressera de créer un hashtag quelconque dans l'unique dessein de lui nuire et de lui faire payer ses propos.
Que les tweets ou autres messages publiés ne soient pas toujours de la première intelligence ne retire rien au fait qu’il est assez inadmissible de voir des groupes de personnes faire régner leurs lois pour la seule raison que la pression exercée fera virer un acteur d’une série, l’empêchera de tourner un film, obligera un sportif à ne pas participer à un tournoi, etc.
Prenons un cas concret avec la communication (imaginaire) de deux acteurs.
On a essayé de me faire manger du Maroille… beurk ! #jaimepaslefromage
I ate Münster : just waow #ilikecheese
La réponse des réseaux sociaux à ces informations est simple à imaginer à coup de #virezDupond ou #fireBryan :
Et, une fois les acteurs mis à l’écart du tournage d’un film quelconque, les aficionados adverses iront chercher (voire déterrer) des informations pour se venger sur d’autres acteurs ayant publié des opinions inverses… Cela n’a pas de fin et surtout, certaines personnes ne pensant exister que via les réseaux sociaux, je doute fort que l’ensemble de leurs tweets et déclarations soient mûrement réfléchis.
On aura beau créer des outils performants et dignes d’intérêt sur le papier, il y aura toujours des dérives. Les réseaux sociaux ont pris trop d’importance… mais est-il encore possible de faire marche arrière ?
Allez, #readGNULinuxMag, je pense qu’il n’y a plus que cela à faire...
Tristan Colombo
GNU/Linux Magazine s'adresse aux professionnels et aux particuliers désireux de mieux maîtriser les techniques et problématiques liées à la programmation et à l’utilisation de solutions open source. Tous les deux mois avec ses articles techniques, la publication couvre les thématiques suivantes : programmation système, algo, bas niveau, sécurité du code, développement web...

Le gestionnaire de versions Git est devenu omniprésent et son utilisation a depuis longtemps dépassé le cadre des projets logiciels. Cet article est le premier d'une série qui s'adresse tout autant à ceux qui connaissent tout juste trois ou quatre commandes Git qu'à ceux qui ont une utilisation avancée et souhaitent une compréhension plus profonde. Cet article décrit les concepts sous-jacents à Git : le commit (non, ça n'est pas un diff), la branche (non, ça n'est pas une séquence de commits), HEAD… L'article introduit une représentation graphique de ces concepts et liste rapidement quelques représentations alternatives que l'on peut trouver ailleurs. Pour permettre une compréhension profonde de l'outil, cet article détaille enfin comment Git stocke vos informations dans le système de fichiers. Les articles suivants de la série présenteront différentes façons de travailler avec Git, en étudiant par exemple l'impact des commandes merge et rebase. Ils expliqueront de nombreuses commandes Git et leurs options en s'appuyant sur votre nouvelle compréhension des concepts et sur notre représentation graphique.
« Développer avec Bash ? Impossible, ce n’est pas un véritable langage de programmation ! Et ce genre de scripts sont bien trop fragiles ! » Voilà des idées reçues sur l’un des plus célèbres interpréteurs Shell que nous allons tenter, aujourd’hui, dans cet article, de faire disparaître pour de bon !
Le bit de parité est semblable à ce brave petit soldat qui sonne l’alerte, avec ses moyens réduits et quand il le peut, pour que la cavalerie vienne s’occuper du problème. Mais cet humble bit obéit aux lois de l’information et laisse passer une erreur sur deux. Grâce aux codes Gray, configurés de façon inhabituelle, nous pourrons mieux filtrer les erreurs, sans augmenter considérablement la taille du circuit ni déployer des théories (trop) complexes.