GNU/Linux Magazine 136

Un annuaire LDAP, ça sert à quoi ? Stocker l'organisation d'une entreprise, la liste des comptes utilisateurs, etc., etc., etc. L'annuaire peut contenir beaucoup de choses et souvent des données vitales pour l'infrastructure d'une entreprise (l'authentification, les clients mails et bien d'autres fonctionnalités peuvent s'appuyer sur cet annuaire). Il est donc important de ne pas négliger la manière dont est installé cet annuaire, que ce soit d'un point de vue sécurité des données (via chiffrement) ou pérennité des données (via réplication des données). Dans cet article, nous ne nous intéresserons pas aux données, mais seulement à la mise en place de l'annuaire.

Lorsque l'on possède un parc de machines important, il peut s'avérer judicieux de multiplier (mais pas trop) les systèmes d'exploitation (propres). En effet, une faille touchant un service transversal qui possède une dépendance forte au système, au hasard OpenSSH, pourrait compromettre l’intégralité de votre plateforme en un coup un seul. D'autre part, un bon OS, c'est comme une vinaigrette, il est meilleur lorsqu'il accompagne la salade adéquate, comprendre qu'il n'est pas déraisonnable de penser qu'un NAS utilisant ZFS serait mieux géré par SunOS, ou d'opter pour NetBSD pour un équipement dont le rôle serait de router du traffic [1] ou encore de s'interfacer proprement avec des réseaux IPv6 natifs.

Les mobiles Android sont de fantastiques machines. Puissantes, communicantes et open source. Ils se limitent pourtant à leur fonction de smartphone avec des fonctionnalités d'interaction très limitées avec le monde extérieur. Et si vous pouviez contrôler un périphérique « maison » avec votre mobile Android, que feriez-vous ? C'est précisément ce que propose le projet Armarino, ça tombe bien !